Yearly Archives: 2011

C’est quoi un certificat SSL?

La question la plus commune que l’on pose aux gens lors de rencontres est: “tu fais quoi dans la vie?” En effet, c’est un sujet bateau, et en général tout le monde est assez content de parler de sa vie professionnelle. Pour certains, c’est relativement simple et clair: médecin, prof, vendeur, militaire, pompier… Pour d’autres, l’explication est légèrement plus compliquée: “je travaille dans la revente de certificats SSL”. Et là s’en suit l’inévitable question “c’est quoi un certificat SSL?…”

Pour y répondre, je vous laisse découvrir une vidéo toute simple et facile à comprendre qui je l’éspère vous éclairera un peu sur mon travail…

iZettle – Faciliter les paiements

J’ai découvert la solution “Square” aux Etats-Unis lors de l’achat de mon iPad à l’AppleStore de New York. Le vendeur a pris ma carte de crédit sur son iPhone, j’ai simplement signé du bout du doigt sur l’écran tactile, et on m’a envoyé par email ma facture acquittée… tout simplement.

iZettle est le Square européen, développé par des suédois. Ils ont saisi l’occasion d’avoir une réelle solution pour notre marché, habitué à la lecture des puces de nos cartes de crédit, plutôt que le simple “swipe” des bandes magnétiques des cartes comme le font les commerçants aux Etats-Unis.

Après une beta qui a fait ses preuves en Suède, iZettle se lance plus globalement et s’internationalise. Preuve en est, cette vidéo de lancement en anglais…

Je trouve que cette aventure sent bon le carton plein (levée de fonds de 8,2M€ sur un 1er round), et je suis très heureux de voir une initiative européenne concurrencer de manière forte un service analogue US.

Good luck to the iZettle team!

 

 

Google parie aussi sur les sites mobiles

Google continue de pousser sa stratégie vers l’Internet mobile si cher à Eric Schmitt avec cette petite vidéo faisant l’apologie des sites internets mobiles. En effet, il est très important pour les entreprises, les commerçants et autres indépendants d’avoir une vraie présence sur l’internet mobile qui est en train d’exploser avec la pénétration grandissante du smartphone.

GoMo, initiative de Google va dans ce sens, et explique sur son site www.howtogomo.com pourquoi et comment avoir un site optimisé pour les outils mobiles est à la fois ultra important et rentable.


Cette petite vidéo très simple est très claire et nous rappelle celle créée par Wilck, LE créateur de solutions mobiles pour tous en France, que vous pouvez trouver ici

Samsung Galaxy S2 vs Apple iPhone 4S – Drop test

Juste une petite vidéo qui m’a fait plaisir. Alors que Samsung vend son Galaxy S2 comme des petits pains, et que les iPhoners continuent de défendre leur device, ces américains un peu fêlés ont testé les 2 téléphones stars du moment à leur manière…

Belle surprise!

 

La bascule de Deezer Premium de mon iPhone vers mon Samsung Galaxy S2

Un très court post mais qui répond à certains de mes lecteurs au sujet de Deezer Premium, de son utilisation sur les outils mobiles et désormais sur mon Samsung Galaxy S2.

J’ai du changer mon compte Deezer Premium de mon ancien iPhone pour mon tout nouveau Galaxy S2. Le transfert de mon compte d’un outil à l’autre est très simple. Il suffit de se connecter sur son compte Deezer à partir de son ordinateur, d’aller dans “Mon offre”, et de supprimer l’ancien mobile. Ensuite tout simplement, il faut télécharger l’application Deezer sur son android et se connecter sous son nom. Voilà, votre compte deezer premium est actif sur votre nouveau smartphone!

En ce qui concerne l’application Deezer sur android, elle ressemble comme 2 gouttes d’eau à l’application iPhone. Elle permet en plus d’accéder très rapidement et simplement au titre en cours de lecture grâce aux notifications et au menu déroulant du haut de l’écran, raccourci très pratique lorsqu’on utilise l’application en fond.

Toujours mon application favorite sur mon téléphone avec cette même possibilité de télécharger les titres pour une écoute hors connexion et la possibilité de coupler mon smartphone à mon Belkin bluetooth relié à ma chaine de salon…

Mon Samsung Galaxy S2, l’anti-iPhone 4S

3 ans. 3 années que j’étais passé du côté obscur et que j’avais rejoint la marque à la pomme avec l’iPhone. En septembre 2008, mon iPhone 3G avait la classe. Un système de navigation à la pointe, la facilité d’Apple sur un téléphone qui revolutionnait le monde geek des smartphones jusque là réservés aux ingénieurs, ou pire aux Blackberristes…

L’iPhone, c’était enfin une vraie possibilité de surfer sur le web sur un outil portable, c’était la fin du wap et de ses portails illisibles, c’était mes emails lisibles et faciles d’accés à tout moment. C’était aussi la révolution des applications qui me permettaient d’obtenir une multitude d’informations et transformaient mon iDevice en couteau suisse de dernière génération.

Accro à cette technologie qui me poursuivait partout, j’ai suivi le mouvement. J’ai ensuite acheté un iPhone 3GS blanc avec 34G de mémoire pour le frime. Et puis je me suis un peu lassé de plusieurs choses et concepts un peu énervants comme la véritable usine à gaz d’iTunes, l’impossibilité de me servir facilement de mon iPhone en disque dur, de lire les films dans le format que je souhaitais, de charger mes milliers de mp3 simplement… Je n’ai même pas changé de téléphone l’an dernier à l’annonce du 4G qui ne m’excitait absolument pas au regard des avancées technologiques annoncées. J’ai préféré jailbreaké mon iPhone 3GS et redécouvrir un peu les possibilités de cette bonne machine.

Clairement j’attendais l’iPhone5. Cet iPhone5 plus fin, plus puissant, “en forme de goutte d’eau”, bref ce nouveau pavé que devait jeter Apple dans la marre dans un grand “plouf”. Cette annoncede la sortie d’un iPhone 4S a tout juste fait petit “pschit”, et je suis allé le lendemain acheter mon tout nouveau Android Galaxy S2, et je dois dire que j’en suis plus que ravi.

Quel écran! Quelle fluidité de navigation! L’android market que je découvre chaque jour est aussi bien, voire mieux achalandé que le fameux App’Store. Toutes les sauvegardes, et autres synchronisations avec les outils google se font de manière transparentes et tellement intuitivement. Il semble loin le temps ou Apple semblait être le seul à proposer une navigation simple et claire. J’ai parlé très souvent sur ce blog de la guerre que se livrent mes 2 marques High tech favorites que sont Apple et Samsung. Sincèrement sur ce coup là, Samsung a fait très fort, et a priori arrive encore avec une petite merveille que sera le prochain Nexus Prime que je n’ai pas eu le courage d’attendre.

Apple a déçu avec ce dernier iPhone 4GS et d’autres constructeurs ne laisseront pas passer cette aubaine, en tout cas certainement pas Samsung.

Credit photo: le Figaro.

iPhone 4S – une keynote décevante?

Pour les petits malchanceux qui n’ont pus suivre la Keynote “Let’s talk iPhone” d’hier soir en direct, voici ce qu’il s’y est passé.

Tout d’abord ouverture de la Keynote par Tim Cooks avec une énumération de chiffres :

–       Une petite présentation des différentes boutique Apple Store ouvertes ces dernières semaines et un total de 357 Boutiques dans 11 pays.
–       Lion fait une brève apparition pour s’affirmer avec 6 millions de téléchargements depuis sa sortie et une progression de 23% du marché du MAC contre 4% pour les PC.
–       Suivi de l’iPod: 300 Millions d’iPods vendus en 10 ans, 45 Millions en 1 an  et 20 Millions de titres de musique disponible sur iTunes.
–       Quelques infos sur les iPhones actuels : Smartphone qui satisfait le plus  parmi tous ses concurrents, la version 4 s’est autant vendue que  les 3 autres versions cumulées !
–       En ce qui concerne l’iPad: 1000 écoles utilisent l’iPad, l’avion A40 l’utilise également dans le cockpit. L’iPad est bel et bien la tablette « number one »
–       En terme d’iDevices tous confondus nous atteignons un total de 250 millions d’appareils utilisés à l’heure actuelle.

Scott Forstall entre en scène pour nous parler iOS (c’est quand même son domaine au quotidien).

–       Des chiffres encore des chiffres : 140000 applications pour iPad, 18 Milliards d’Applications téléchargées et 3 Milliards reversés aux développeurs.
Suivi de l’annonce d’une nouvelle Application made-in Apple : Cards ; Vous créez une carte postale virtuellement depuis votre iDevice et Apple l’envoie pour vous (aucune annonce sur les tarifs d’envoi).

Suivi d’un petit rappel (pour les accros de l’iDevice) et d’une découverte pour ceux qui découvrent Apple depuis peu de iOS 5 avec dans le désordre, :

– Intégration de Twitter dans tout l’univers de l’OS (ce qui va sûrement lancer réellement Twitter en France !)
– Kiosque à Journaux (News Stand) avec la possibilité de télécharger les nouvelles parutions de vos abonnements en tâche de fond.
– Mise à jour de l’OS de l’iDevice « over the air » (sans câble de synchronisation).
– Nouveau clavier
– iMessage
– Raccourci Appareil Photo sur le Lockscreen (écran déverrouillage de l’iDevice)

Pour la liste complète allez faire un tour ici et pour la date de sortie officielle pour tout le monde : 12 Octobre 2011

Place maintenant à Eddy Cue responsable de iCloud qui nous rappelle la gratuité de ce service fourni et intégré par Apple dans les applications natives et officielles d’Apple ainsi que toute application créée par les développeurs intégrant l’API d’iCloud. Une nouvelle fonctionnalité fait encore son apparition avec Find My Friends qui vous permettra de savoir où se trouvent vos amis (ayant bien entendu un iDevice avec iOS 5 et la fonction Find My Friend activée, un peu à la sauce Lieu de Facebook). iCloud comprend 5 GB de stockage gratuit pour l’ensemble de vos sauvegardes : Mail, Documents et sauvegarde (backup). Pour les Photos pas d’info mais dans la Keynote de Juin tout était précisé. Pour la synchro des musiques dans le nuage c’est du ressort de iTunes Match disponible fin octobre pour les US et pour un tarif de 24$99 par an.

Le coté software laisse place maintenant à la partie Hardware avec son responsable Phil Shiller qui entre en scène et nous parle de l’iPod Nano avec son lot d’améliorations à commencer par l’application Nike+ et son interface web ainsi que l’ajout de 16 nouvelles horloges (pour ceux qui aiment le porter en bracelet). Question prix cela est abordable avec 129$ pour la version 8GB et149$ pour la 16GB. La version Nano nous amène à la version Touch qui gère également l’iOS 5 avec iMessages et iCloud et pour les puristes du blanc il sera également disponible dans ce colori en date du 12 Octobre également.

Les petites choses annoncées, place à L’ANNONCE du jour très attendue, le nouvel iPhone : 4S, 5 ?

Et le gagnant est l’iPhone 4S avec lui aussi un lot de nouveauté interne et non pas externe à la grande déception de bon nombre d’entre nous.

Cet iPhone 4S embarquera une puce A5 (comme l’iPad 2), annoncé comme 2 fois plus rapide que le 4, 7 fois plus rapide pour faire tourner la 3D, ceux qui nous amène à un rendu graphique proche d’une XBOX 360 (oui oui Apple fait bien une comparaison à la console de salon de son concurrent Microsoft !!)

Et nous retrouvons Phil Shiller qui nous parlent des améliorations apportées à la batterie avec ce nouveau processeur ainsi que la qualité d’appel. L’iPhone 4S est « universel » pour les réseaux GSM et CDMA et des vitesses de téléchargements augmentées :

Un changement conséquent au niveau de l’APN pour l’iPhone 4S et son appareil photo 8 Mpx, 60% de pixels de plus que l’iPhone 4 ! Un nouveau capteur de luminosité a été intégré afin d’être plus sensible aux variations de luminosité. Ce capteur permet une résolution en 1080p HD en enregistrement vidéo. Dernière fonction présentée : l’AirPlay Mirroring disponible sur l’iPhone 4S comme le fait son frère l’iPad 2.

La présentation de l’iPhone 4S touche à sa fin et nous revenons sur l’iOS 5 avec Siri, le contrôle vocal d’Apple. Ce contrôle vocal semble juste être le must du contrôle vocal actuel. Vous lui demandez le temps de demain, l’iDevice vous répond en image et en texte. De même, si vous lui demandez de vous réveiller, il active le réveil et vous l’affiche afin d’être sûr que ce qu’il comprend correspond bien à votre demande.

Une multitude de chose sont possible : demander un itinéraire (ouvert dans Maps), la liste des resto à proximité, SMS (dictation), mails, Wikipedia, combien de jour reste-t-il avant noël ou encore nous pouvons demander à l’iDevice de se présenter, chose à laquelle il répondra « I am a humble personal assistant » ( je suis un humble assitant personnel )

Siri sera disponible uniquement pour l’iPhone 4S ! Et le tout disponible en Français, Anglais Allemand à ses débuts.

On finit cette partie par un ultime résumé des fonctions de l’iOS 5 ainsi qu’un spot publicitaire de l’iPhone 4S.

L’article est à présent terminé,  restez connectés sur Blogeezer, nous vous préparons un petit dossier sur le Jailbreak, oui, non, pourquoi, pourquoi pas, comment, danger, utilité…

A bientôt sur Blogeezer, Hawaien88.

 

6 règles d’or pour fermer une vente

Tous les vendeurs, commerciaux et responsables de compte connaissent la difficulté majeure qu’est la fermeture du deal lors d’une vente. En effet, il m’est arrivé de très nombreuses fois ainsi qu’à mes collaborateurs de penser qu’une vente allait se faire et qu’elle ne soit jamais conclue ; ou qu’elle soit repoussée de quelques mois voire années, selon la durée du cycle de vente du produit/service proposé.

Selon mes expériences et quelques lectures, j’ai listé 6 points/concepts qui interviennent dans mes ventes réussies, et je vais tenter de les exprimer rapidement et facilement ci-dessous :

–       Aller au delà du simple « oui ». Lors de la fermeture d’une vente ou d’un deal, le temps joue contre le vendeur, il est son ennemi principal. En effet, obtenir un « oui » au téléphone ou en face à face est malheureusement loin d’obtenir un bon de commande en bonne et due forme qui permet de déclencher la sacro-sainte facturation. Le temps entre le « oui » et la signature et fermeture de deal est un temps mort qui doit être le plus court possible. Ce délai entre ces 2 moments est un temps offert au client pour re-réfléchir à votre offre, repenser ses besoins, refaire un tour sur le net, revoir ce que vos concurrents proposent. Bref c’est un temps que vous devez raccourcir au maximum pour éviter de re-batailler.

–       Le « oui » verbal que vous obtenez ne doit correspondre qu’à une seule option. Tout comme le temps est votre ennemi, le choix laissé à votre client est lui aussi (très souvent) une cause de fermeture ratée ou repoussée. Si vous laissez le client repartir avec une proposition mettant en compétition 2 offres, vous lui donnez encore une occasion de repenser ses besoins, revoir ses options et encore une fois analyser la concurrence. Un bon vendeur doit obtenir un « oui » sur « la solution la plus précise » possible, qui permet au client de ne plus avoir à réfléchir et de passer à l’action.

–       Créer un sens de l’urgence. Très souvent le temps compte pour les entreprises vendeuses beaucoup plus que pour les acheteurs… Parfois les projets sont à long terme, les cycles de vente s’allongent, ou pire, les clients n’ont pas de deadline pour la mise en place de la solution que vous leur proposez. L’une des techniques est de créer le sentiment d’urgence chez votre client. Le plus courant est évidemment la proposition de réduction de prix limitée dans le temps (5% de remise si vous prenez le produit avant la fin du mois) mais il y a d’autres techniques : rallongement des délais de paiement, offre produit limitée en nombre (rareté du produit),…

–       Utilisez la menace « concurrent ». « Vos confrères (façon businessment-correcte de dire vos concurrents) nous passent déjà des commandes, nous avons pensé que vous pourriez certainement être intéressés » Cette technique peut être fondée sur un coup de bluff ou encore mieux sur une vérité qui n’en aura que plus d’impact si vous êtes en mesure de le prouver. « Nous sommes en pourparler avec vos confrères, nous pensions que vous pourriez vouloir être le 1er à profiter de ce produit »

–       Dispensez des nouvelles toutes chaudes pendant la négociation. Abreuvez votre client des toutes dernières news, des articles de presse vous concernant,  des sorties de nouveaux produits, des nouveaux gros clients qui vous rejoignent. Donnez leur l’impression que votre société avance et avance vite, et qu’il faut qu’ils prennent le train en marche.

–       Enfin, malheureusement, vous ne fermerez pas tous vos deals. Prendre conscience de ce fait permet de prendre un peu de recul sur des situations et ne pas en faire trop envers le prospect. On a entendu des deals perdus car le vendeur était trop insistant, ses relances pouvant parfois passer pour de la vente forcée… On ne gagne pas à tous les coups, et cela permet une fois cet aspect intégré de travailler plus fort sur certains deals dont les chances de fermeture sont plus grandes que sur d’autres…

Voilà en quelques mots mes règles de base permettant la fermeture des ventes qui évidemment nécessitent une adaptation selon l’industrie dans laquelle vous vous trouvez…

Maintenant, à vous de jouer !

Orange, France Telecom, bureaucratie et echec

Alors que je suis supposé changer de bureau pour mon entreprise, et que ces nouveaux locaux sont livrés depuis déjà un mois, il m’est impossible d’offrir à mes collaborateurs de meilleurs conditions de travail à cause d’Orange.

En effet, j’ai choisi pour des raisons très évidentes de coûts de passer sur une solution de VoIP avec OVH, intervenant incontournable de l’hébergement en France qui s’est lancé récemment dans les lignes SDSL et la téléphonie par Internet (15€/mois seulement pour des appels illimités Europe/US et mobiles français…). La solution est forcément interessante, malheureusement la mise en place est devenue un véritable cauchemar, et ce en grande partie par la faute de Orange / France Telecom.

Pour mise en place des services d’OVH, plusieurs interventions de la part d’Orange devaient avoir lieu, dont le fameux dégroupage/passage sur des lignes SDSL. Ce rendez-vous avec un technicien FT aurait du se passer au début du mois d’août. Comme j’étais en déplacement sur la côte Ouest des Etats Unis, je ne répondais pas à leurs appels à 3h du matin et leurs messages ne laissaient aucun numéro à rappeler. Suite à ces appels sans réponse, FT a décrété sans chercher plus loin que mon dossier était clos.

Depuis, je suis balancé de services OVH en services France Telecom. Je suis passé en boutique Orange,  j’ai appelé le 1013 la semaine dernière où j’ai appris que mon dossier avait été classé. J’ai donc demandé à le relancer et on m’a confirmé un passage pour activation de ma ligne SDSL en ce jour lundi 12/09. Je croyais enfin être sauvé… C’était sans compter l’incapacité de France Telecom, des ses services et de ses collaborateurs de communiquer de façon intelligente et de suivre convenablement un dossier. Ce matin, appel d’Orange pour me confirmer la venue du technicien pour activation de ma “livebox”!!! Bien sûr, je confirme tout de suite que ce n’est pas l’intervention voulue de ma part, et j’ai la plaisir de m’entendre dire, “il faut que vous appeliez le 1013″… retour donc à la case départ, encore une semaine de perdue après 2 mois de galère…

J’appelle donc le 1013, et voilà ce que me dit le répondeur après 10min en ligne: “si cela concerne Internet, nous ne sommes pas en mesure de vous répondre en ce moment, veuillez contacter votre opérateur”, OVH en l’occurrence pour moi, qui ne sont eux non plus pas en mesure de m’aider et qui de leur côté “attendent un retour de FranceTelecom” depuis 1 mois…

Bref, encore une impasse due à l’énorme taille d’Orange, à leur clair refus d’aider les sociétés promouvant la VoIP, et leur incapacité à suivre convenablement un dossier dans les méandres sous-staffées de leur service client.

 

 

L’API, Arme de Progression Intensive

Cet été, SSL247 a encore passé un nouveau cap en proposant à ses clients sa propre API.  C’est un véritable tournant dans le développement de notre société, car l’API est devenue pour de nombreuses sociétés une “Arme de Progression Intensive”.

Qu’est ce qu’une API ?

Pour le commun des mortels comme moi, l’API est un programme informatique qui permet de mettre en place une passerelle entre plusieurs systèmes d’information, des sites web très souvent en l’occurence. Par exemple, beaucoup de sociétés utilisent l’API de Facebook comme les jeux sociaux (Farmville & Co.) ou encore l’API de twitter comme tweetdeck ou Seesmic. L’API permet en fait à des nouvelles sociétés de s’agglutiner autour de plateformes et de créer des pôles entrepreneuriaux autour de ces concepts.

Quels sont les intérêts d’une API ?

–       « Brand Awareness ». L’API est très souvent un moyen de faire parler de sa société et de sa marque. En effet, plus il y a de sociétés qui viennent fourmiller autour de votre entreprise, plus elle est reconnue et plus vous avez de clients/utilisateurs. Facebook doit beaucoup de son succès à ces entreprises qui sont venues se servir de sa plateforme pour divertir les utilisateurs (Farmville, Paf le Chien,…) ou proposer leurs services dans ce contexte de réseau social (Sharethis, FourSquare, etc…)

–       De nouvelles perspectives et nouveaux marchés. En effet, les entreprises clientes de cette API ont elles-mêmes des clients et utilisateurs qui ne seraient peut-être pas utilisateurs de la société détentrice de l’API. Expliquons cette phrase torturée par l’exemple. Imaginons un hongrois qui a un site web dont il a acheté le nom de domaine à la société DomaineHongrie.com. Il y a très peu de chances que SSL247 revende à ce hongrois un certificat SSL car SSL247 n’a pas de site en hongrois ou de présence physique dans ce pays. Grâce à l’API, il est possible pour DomaineHongrie.com de revendre sur leur site, dans la langue du pays, et très facilement, des certificats SSL. DomaineHongrie.com profitera donc de la large gamme de certificats SSL revendus par SSL247 ainsi que de notre expertise dans le domaine et trouvera ainsi une nouvelle source de revenu. Enfin le hongrois propriétaire du site sera lui client de DomaineHongrie.com et pourra échanger dans sa langue avec un intervenant de chez lui pour tout le support dont il a besoin.

En résumé, L’API offre donc une possibilité d’un plus grand rayonnement de l’activité de la société qui la propose. Elle permet une expansion géographique plus aisée, mais aussi de s’inscrire sur des nouveaux segments de marché qui étaient jusqu’alors impossibles à toucher. Toutes les sociétés basées sur une forte existence logicielle et souhaitant une forte progression de leur entreprise proposent une API dans leur business model. C’est en suivant cette forte tendance d’ouverture vers des partenariats que SSL247 continue sa progression.